Non, pas encore cette fois [Libreuuuuh ^^]

-Laquelle tu veux ?

-Oh... la verte, elle est sublime !

Dans un magasin de vêtements, en plein coeur de Port Royal, se trouvait toute la petite famile Ledermann. Sarah et sa mère était en train choisir une nouvelle robe. En effet, son père avait l'intention d'organisé une sorte de balle pour l'anniversaire de sa fille. Mais pourquoi pas un anniversaire comme les autres ? Certainement pour lui présenté encore un de ces jeunes de nobles ! Décidément, il n'abandonnera jamais son idée ! Mais sa fille avait bien l'intention de lui faire oublié, peu importe les moyens !
Alors qu'elle et sa mère venait de s'acheté une robe, et que toutes les deux sortirent de la boutiques, Monsieur Lederman leur tomba dessus, un jeune homme à ses côtés...

*Oh... chouette... -_-"*

-Je vous présente ma fille, Sarah..., dit il avec un sourire. Sarah, voici William Ostwood.

-Enchantée ! Dit la jeune femme, un sourire forcé aux lèvres.

*Une idée pour partir de là... une idée, vite ! Oui, sa y est !*

-Hum... veuillez m'excusé, j'ai oublié quelque chose dans la boutique, je reviens tout de suite !

A ses mots, Sarah rentra de nouveau parmit les vêtements. Là, derrière, il y avait une porte... S'approchant de celle-ci, elle regarda part la fenêtre qui se trouvait juste à côté. Elle mennait dehors, génial ! Miss Ledermann ouvrit alors la fameuse porte et sortit, quand elle fut bousculé.

James avait passé deux semaine épouvantable. Toujours seul à la recherche de Davy Jones, il s’était fait de nouveau ennemis. Ce cher Norrington lui avait présenté sa lame en présence de Lord Beckett qui lui, n’avait pas hésité à s’en servire… James avait été coupé sur le bras mais il avait réussir à s’enfuir. James avait quand même passé deux semaine dans le fond d’une cellule. Après s’être enfuit, il en en profita pour aller chez le barbier et dans une petite boutique pour s’acheter du nouveau linge. En rentrant, il accrocha une jolie demoiselle qui, d’après son accoutrement, était née d’une famille noble. –Je suis désolé. S’excusa James en s’attardant sur le regard de la demoiselle –un peu trop longtemps à son goût- puis il tourna les talons vers les rangés de linge propre.

La jeune femme regarda l'homme qui venait de la bousculé et, tandis que celui-ci partit vers les rangées de la boutique, elle laissa échappé un tout petit et timide "ce n'est pas grave...". A vrai dire, il venait quelque peu de la... troublée. Déjà, rien qu'en voyant son accoutrement, il ne semblait pas vraiment noble ou quoi que se soit. Il ne semblait pas non plus faire aprtit des quartiers pauvres de la villes, car ces vêtements avaient quelque chose de plus... aventurié.
Sarah fut donc coupé dans élan et s'arrêta. Elle avait envie de savoir un peu plus sur ce jeune homme qui l'intrigué assez, voir même beaucoup. Elle rentra donc dans la boutique à son tour et regarda tout de même en direction de dehors. Ses parents l'attendait avec impatience, et surtout son père, qui commençait à taper du pied. La fille Ledermann alla dans la même allé que cet homme mystérieu et remarqua qu'il y avait quelque chose par terre. Une petit bourse, mais qui ne semblait pas vraiment contenir de l'argent.

-C'est à vous ? Lança-t-elle en ramassant cette bourse et en la lui tendant.

La jeune femme que James avait bousculé était revenue dans sa direction. James la regardais du coin de l’œil. Elle ramassa un objet qu’il reconnu par la forme. Elle s’avança encore et lui tendis l’objet. «c’est à vous?» demanda t’elle d’une voie tremblante qui était quand même très belle à son goût. –Oui merci. Répondit James avec un sourire amical. Il pris le paquet de cuir noir qui ressemblais à une bourse et la rangea. James se retourna vers le linge en ignorant la femme qui était toujours à coté de lui. En prenant un chandail noir, il le regarda et le remis en place. Elle était toujours là.

Comment faire pour pouvoir en savoir plus sur quelqu'un, sans parraître trop curieuse ? Voilà là bien la question que Sarah se posait en ce moment même. D'habitude, on la présenté, et les gens qu'elle cotoyée arrivaient à en apprendre vite sur elle en la voyant chaque jour, et c'était de même pour la jeune femme. Mais là, ils ne se verraient qu'une seule et unique fois !
Toujours aussi timidement, la brune était resté à sa place, regardant les moindre de ses gestes. Puis, quand il se retourna de nouveau vers elle, elle déclara, tout en se frottant le bras:

-Heu... je m'appelle Sarah Ledermann...